• Le côté extrême du rêve

    Petit coucou à vous tous, aussi peu nombreux que vous êtes. Sachez que je vous aimes tous, même ceux qui viennent sur le blog en cliquant dessus par accident sur mon lien dans le http://repertoire.ek.la/ !

              Pour ce deuxième article de Viva la Vida 2.0, je voudrais vous parler de mes rêves disons... plus extrêmes. Des trucs aux sensations fortes, vous voyez? Notre pouls augmente, on a des frissons... et cette superbe sensation d'adrénaline qui cours dans nos veines. Ouais, très intense. C'est drôle, parce qu'il y a moi, la fille trop réservée, calme et perfectionniste, et moi, la même personne, qui veut faire des sports extrêmes. Au moins une fois dans ma vie.

     

    1. Saut en parachuteDans l'extrême...

              Et oui! L'activité où l'on enfile un one-piece très classe avec un harnais, un casque et de belles lunettes, où l'on s'envole dans les airs par avion et où, accompagné d'un instructeur, on saute dans le vide. Je ne sais pas pour vous, mais ça a l'air GÉNIAL!!! Bien sûr, il y a toujours un risque que le parachute ne s'ouvre pas, mais j'aime mieux ne pas y penser. Si un jour l'occasion se présente, je choisirai probablement une compagnie reconnue pour sa fiabilité dans le montage de parachutes. Et la sécurité de toute la procédure. Juste pour être sûre.

              Je vois des images à la télé et je me dis «je veux être là, à la place de ces gens». Je les vois tournoyer dans les airs, hurler de joie et sourire à pleines dents, les pouces en l'air. Il y a ce sentiment de liberté, le fait de simplement lâcher prise. De mettre tous nos tracas de côté pour cet instant de pur bonheur et de fébrilité. Il y a aussi la vue que les parachutistes ont du sol. Ça doit être vraiment unique. Oh, imaginez sauter pendant un superbe coucher de soleil! MA-LA-DE!!!!!!

     

    Dans l'extrême...2. Bungee

              Voilà un autre genre de saut. Moins haut, mais quand même la tête première dans le vide. Et le seul lien qui nous garde sain et sauf; un câble.

              Encore une fois, j'aimerais essayer ça un jour pour hurler de toutes mes forces, rire comme une folle, lâcher prise. Je vois cela plutôt comme une forme de défoulement. Bizarre. Je sais pas, quand on saute, on oublie tout pour se concentrer sur une chose: se demander si le câble est assez solide et court pour que notre tête ne se fracasse pas sur le sol. Et donc, vient une légère panique. Que fait-on quand on panique, mais vraiment beaucoup? Bien moi je crie. En criant à pleins poumons, j'évacue ma haine, mes problèmes. C'est fous ce que je prétends pouvoir mettre dans un cris. Tout ça parce que les occasion pour me défouler sont rares, ces temps-ci. Vocalement parlant.

              Et lorsqu'on saute, ça doit être très stimulant. Je veux dire, même avant de sauter, on ressent de l'adrénaline et on dirait que ça nous fait sentir vivant. On sens réellement qu'on est là, qu'on existe. Bon, c'est une mesure un peu extrême pour se sentir en vie, je sais qu'il y a plein d'autres façons, mais le saut en bungee reste quand même dans ma liste « extrémiste ».

     

    3. Rafting

              Bon, après les airs, revenons un peu sur terre. Le rafting en rivière m'a l'air d'être une activité plutôt amusante, quoique ça demande une base en savoir de pagayer (j'ignore si ça se tient) et en nage, parce que.... bah on est sur l'eau, logiquement. Donc je me verrais bien avec un groupe d'amis partir faire une promenade sympathique en rafting. Sympathique, mais très agité, hein? Parce qu'on sait que l'eau d'une rivière, c'est pas stagnant comme un lac. Il y a des rochers, des courants, des contre-courants, des p'tits poissons tout chou, des couloirs plus étroits que d'autres, bref, c'est tout sauf tranquille. Alors pour cela, je prévoirais beaucoup d'éclaboussures, peut-être quelques chavirements, un peu de panique, mais beaucoup de plaisir!

    Dans l'extrême...

              Voilà donc ce qui conclu ce petit article sur mes rêves plutôt insensés. Je ne vous cacherai pas que ça me fait un peu peur, après certaines histoires racontant des gens qui font ces périples et à qui ça a mal tourné. Mais l'envie de se surpasser dépasse ce sentiment d'appréhension, je dirais. Je sens qu'en faisant ces trucs extrêmes et complètement fous, ça me libérera de plein d'autres trucs. Le simple fait de faire des grandes attractions comme à Marineland ou à Disney World me rend super énervée, mais dans le bon sens. Ça peut donner l'impression d'être libre, oui, aussi bizarre que ça peu être. Je m'imagine moi, dans l'avion, avant de sauter dans le vide. Je me dis « Tu as pris cette décision et tu vas le faire. C'est l'une des meilleures journées de ta vie. Profites-en. »

              Il y a donc le avant, où je me pince pour m'assurer que tout est réel, où je ne tient plus en place. Il y a le pendant, lorsque je hurle, lorsque je ris, lorsque je savoure. C'est le moment où je vis. Puis le après, lorsque je prends conscience de ce que je viens de réaliser, lorsque je souris à pleine dents, que j'ai les cheveux en bataille et que mes mains tremblent de bonheur. C'est ÇA, ma définition de l'adrénaline à l'extrême, celle qui nous stimule, qui fait battre notre cœur et qui marque l'esprit à tout jamais.

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